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Par mimie-591 le 22 Juin 2009 à 13:49
Es ce la ma route si le vent me pousse doucement dans un velouté de brume la nuit doucement s’étire et laisse tomber ses nuages d’étoiles assombries
Je me sens perdue vide de mes pensées et de mes mots le sablier de la vie m’invite pour un rêve d’évasion je voudrais de ma main arrêter le temps pour quelque temps
Laisser aller ma vie et taire les mots inutiles
Me laisser flotter au vent de l’onde et bercée par le chant des oiseaux
Partir pour un voyage en mer sous la tempête respirer la douceur des embruns
Revenir enfin sur terre et ouvrir a nouveau les yeux sur les couleurs de la vie
L’ami
Pour ne pas qu’il s’inquiète je lui dit
Je vais bien
Mais le soir venu
Quand il n’est pas venu
Je sens comme un manque
J’ai la gorge serrée
Je pleure seule dans mon lit
Et je ris devant lui
Comment lui faire comprendre
Qu’il est plus qu’un ami
Je le sais je le sens
C’est l’amour de mon cœur
Mais moi je le sais
Je ne suis pas dans son cœur
Je suis son amie ça il me le dit
Mais quand me diras t’il
Tu es plus qu’une amie !!
Je veux vivre d’espoir
Je veux encore y croire
Ne pas le brusquer
Mais simplement espérer
Qu’un jour d’été sous le ciel bleu
Je fermerais les yeux
Et j’aurais le cœur heureux
Il me prendra enfin dans ses bras
Et c’est la qu’il me dira tout bas
Non ne crains pas d’être a moi
Je sais ce que je veux
Tu n’es plus mon amie
Mais la femme de ma vie
tit poeme pour vous
Elle était la assise sur le parvis glacé de l’église enfouie dans un vieux gilet qui ne lui couvrait le corps qu’a moitié tout petit bout de femme encore enfant elle me suivait de son regard troublant
Je ne pouvais détacher les yeux des siens j’avais froid je grelottais alors que la neige s’était mise à tomber d’un pas résolu je fis un pas vers elle elle eut un mouvement de frayeur j’avançais ma main
Tout près de la sienne pour la réconforter et lui faire comprendre que je ne lui voulais pas de mal
Qui était- elle petite fille perdue sans personne pour la protéger espérant récolter quelques pièces pour manger c’était la sortie de la messe mais tous les gens se pressaient de rentrer chez eux
Ils ne la voyaient même pas et puis qu’elle aille au diable pensaient ceux qui la regardaient
Non je ne pouvais pas la laisser la je m’assis a ses cotés et lui mis mon manteau sur ses frêles épaules
Elle tourna son visage vers moi et des ses magnifiques yeux bleus coulaient de grosses larmes
Je lui pris la mais et je décidais de l’emmener elle me suivit sans trop savoir pourquoi j’imagine
Pauvre sans famille, combien d’enfants comme elle seule et sans abri je regardais les gens et j’eus honte oui honte pour tout ceux qui ignorent que la misère est partout sur la terre
Je la fis boire un potage bien chaud et près de la cheminée dans le vieux salon lentement elle s’endormit son visage reposé et les larmes séchées
en ce temps ou la misere est trop prèsente je vous ai ecrit ce poeme
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